Oh d’un Dieu généreux je n’ai jamais douté
Et je ferme les yeux en buvant un doux thé
Avant d’aller aux cieux où l’herbe est toujours verte
Du diable jamais je n’ai l’arme redouté
Et son acharnement fut toujours débouté
Par ma porte pourtant à la bassesse ouverte
Je n’ai pas de mérite étant enfant du Haut
Qui règne sur la terre et dissout le duo
Uni pour que le Mal triomphe du bien-être
Après un doux thé bu je rouvre un œil dû aux
Poussière et lumière et ces éléments duaux
Me font penser que Dieu a passé ma fenêtre.
Et je ferme les yeux en buvant un doux thé
Avant d’aller aux cieux où l’herbe est toujours verte
Du diable jamais je n’ai l’arme redouté
Et son acharnement fut toujours débouté
Par ma porte pourtant à la bassesse ouverte
Je n’ai pas de mérite étant enfant du Haut
Qui règne sur la terre et dissout le duo
Uni pour que le Mal triomphe du bien-être
Après un doux thé bu je rouvre un œil dû aux
Poussière et lumière et ces éléments duaux
Me font penser que Dieu a passé ma fenêtre.